« Je voulais vivre », une réhabilitation de Milady

Adélaïde de Clermont-Tonnerre livre à son tour un roman montrant que la « méchante » des Trois mousquetaires ne l’était pas tant que ça… 

Bien loin du déluge d’auto-fictions nombrilistes et dépressives, c’est l’un des romans-phares de la rentrée littéraire: Je voulais vivre d’Adélaïde de Clermont-Tonnerre brosse un portrait en profondeur de Milady. Très bien écrit, astucieusement imbriqué avec Les trois mousquetaires, le roman apporte quelques révélations: comment Constance est-elle devenu la confidente de la reine? Qui est le véritable père de Mordaunt, le fils de Milady? Une grande réussite.

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