Venez découvrir les relations qu’entretenaient Alphonse de Lamartine et Alexandre Dumas !

« Je ne reconnais que la supériorité de l’intelligence. Sous ce point de vue, je m’incline devant deux hommes : Lamartine et Hugo. Avec tous les autres, j’ai la prétention de marcher de pair. »

Cette estime, quelque peu orgueilleuse, pour ses deux confrères, Alexandre Dumas ne cessera de la réaffirmer. Elle se double d’ailleurs d’une réel attachement. À l’égard de Victor Hugo, ce n’est plus à illustrer : les études ne manquent pas. C’est moins évident avec Lamartine.
Jusqu’en février 1848, les rapports des deux écrivains sont cordiaux mais lointains. L’action politique les rapproche : Lamartine, vient de proclamer la République ; il est au faîte de sa popularité et de sa gloire. Mais la roche tarpéienne n’est pas loin : trois mois plus tard, le poète, complètement discrédité, est attaqué de toutes parts. De plus, il fléchit sous le poids de dettes insurmontables qui l’accableront pendant les vingt dernières années de sa vie. Ses efforts surhumains pour en sortir ne lui attirent que moqueries et insultes.

Dans cet océan d’ingratitude, un homme lui reste fidèle et le soutient jusqu’au bout, envers et contre tous : Alexandre Dumas.

Causerie par Guy Peeters, Ami de Dumas et Professeur de littérature.
Nous serons aimablement accueillis dans la merveilleuse Maison d’Auguste Comte à Paris.

• Entrée gratuite et ouvert à tout-e-s, dans la limite des places disponibles
• INSCRIPTION IMPERATIVE : cliquez ici
• Maison d’Auguste Comte, 10, rue Monsieur-le-Prince, 6e arrondissement, Paris